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| (Harry Potter) Petites histoires d'après guerre | |
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Sweet'N Sour
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Age : 36 Messages : 13 Date d'inscription : 29/11/2009 Copyright : Moi
| Sujet: (Harry Potter) Petites histoires d'après guerre Lun 30 Nov - 9:38 | |
| Textes divers ayant tous comme point commun de se passer après la défaite de Voldemort. Je les ai regroupé dans ce recueil pour éviter d'ouvrir 20 sujets de mini one-shot et de drabbles. La plupart ont été écrit lors de marathons d'écriture, les prompts utilisés sont inscrit au début... Bonne lecture.
Les textes contennant du slash (relation amoureuse entre deux hommes) ont été placé sous spoiler, pour ceux qui n'aiment pas.
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Dernière édition par Sweet'N Sour le Lun 30 Nov - 10:28, édité 1 fois | |
| | | Sweet'N Sour
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| Sujet: Re: (Harry Potter) Petites histoires d'après guerre Lun 30 Nov - 10:26 | |
| Albus et le Père Noël Prompt lancé par mushoos : "C'est pas parce que t'as un gros bide et que t'es habillé en rouge que t'es le Père Noël. "Toute la petite famille avait décidé de se rendre au centre d’achat moldu, histoire que les garçons puissent voir le père Noël. Ginny tenait la petite Lily, un an et demi dans ses bras et tenait la petite main de James avec l’autre. Le jeune Albus, 4 ans, se trouvait dans les bras de son père, les jambes autour de sa taille. Pour l’occasion, les deux petits garçons portaient tous les deux un petit chapeau rouge de père Noël. Lorsqu’ils arrivèrent, il y avait déjà une petite file de jeunes qui attendaient. Lorsque enfin se fut leur tour, Ginny laissa James s’approcher alors qu’Harry déposa Albus sur le sol pour aller payer le lutin-photographe. « HO HO HO! Qu’est-ce qu’un gentil petit garçon comme toi veux pour noël? » demanda-t-il à James, en le faisait sauter sur ses genoux. James allait répondre lorsque : « C'est pas parce que t'as un gros bide et que t'es habillé en rouge que t'es le Père Noël. » C’était le jeune Albus, qui s’était approché lui aussi sans que personne ne le remarque. « Albus! » s’exclama Ginny. “Mais maman, tu as dit que le vrai père noël savait lorsque l’on était pas sage. Si le monsieur était le vrai père-noël, il saurait que James n’a pas été sage cette année. » « Albus Severus Potter! » repris Ginny. Contrairement à sa femme, Harry trouvait cela plutôt drôle. Il trouvait toujours amusant de constater de la logique de son fils de 4 ans. « Ne rigole pas Harry. Albus s’est mal comporté. » « Ce n’est pas si grave chérie. » « C’est le temps pour la photo. » interrompit le lutin. « D’accord » lui répondit Harry. Puis se retournant vers sa femme. « Allons faire cette photo. » Et quelques jours plus tard, Ginny accrochait au dessus de la cheminée, la photo fait ce jour-là. Derrière le siège du père noël, Harry et Ginny se tenait debout, la petite Lily dans les bras de sa mère. Les deux garçons étaient assis sur les genoux de l’homme, Albus tenant sa barbe et tirant dessus et James faisant une grimace à son frère. Fin | |
| | | Sweet'N Sour
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| Sujet: Re: (Harry Potter) Petites histoires d'après guerre Lun 30 Nov - 10:33 | |
| Un père noël d’exception "Le rouge n'est vraiment pas ta couleur." par ingelrannus- Spoiler:
Depuis que la guerre était terminée, les Weasley avaient une tradition pour noël. On mettait le nom de tous les hommes en âge de le faire dans un chapeau, puis on pigeait un nom. Le personne ainsi choisit était celle qui faisait le père Noël.
Et cet année, ce n’était pas une année comme les autres, puisque deux noms avaient été ajouté dans le chapeau. Deux noms qui n’avaient pas fait plaisir à Harry.
Le survivant n’arrivait pas à comprendre ce que son fils pouvait bien trouvé au fils Malefoy.
Quelques années plus tôt, lorsque Albus avait fait son coming out, il avait été très ennuyer de savoir que son garçon préférait les autres garçons, mais maintenant que son fils sortait officiellement avec Scorpius Malefoy, Harry ne pouvait s’empêcher de penser : « N’importe quel mec, mais pas Malefoy! ».
Surtout que maintenant, Albus avait invité son amoureux au party de noël, et puisque le mère de ce dernier était récemment partie avec son professeur de Yoga, Albus avait cru intéressant d’inviter aussi Drago Malefoy, le père de Scorpius.
Pour en revenir à la tradition, cette année, l’heureux gagnant qui aurait l’honneur de porter le costume du père noël était… Drago Malefoy.
Ce dernier non plus n’aimait pas que son fils soit amoureux d’un Potter. Sans oublier le fait qu’il allait devoir passer noël dans la famille des Weasley. Dans l’une des trop nombreuses chambres de cette maison, Drago Malefoy regardait avec dégoût le costume rouge du père Noël qu’il allait devoir porter.
« Tu te dépêche papa? Tout le monde t’attend en bas. » fit Scorpius en entrant dans la chambre. « Tu n’es pas encore prêt? Qu’est-ce que tu attends? »
Ne sachant quoi donner comme excuse, il dit la première chose qui lui passa par la tête : « Le rouge ne me va pas bien. »
« Oh allez papa. Met se costume qu’on en finisse. »
« Bon d’accord » abdiqua-t-il.
Son fils partit, le laissant seul.
« HOHOHO! Je suis le père Noël.» fit-il en entrant dans le salon où tous les Weasley étaient assis.
Il y avait Arthur et Molly, Charlie et sa femme, leurs deux enfants de 18 et 19 ans, il y avait Billy et Fleur avec Victoire et son mari, Teddy Lupin. Ces deux derniers avaient amener leur deux enfants de 1 et 3 ans. Il y avait aussi George Weasley qui dieu merci n’était ni marié ni père de famille. Il y avait Ron et Hermione, leurs enfants, Hugo et Rose, la petite amie de Hugo et le petit copain de Rose. Pour finir, il y avait Harry et Ginny Potter, James et sa copine, qui avait son propre fils de 6 ans. Ils avaient ensemble une fillette de 2 ans et elle était enceinte de nouveau. Sans oublier Albus et son fils, assis très proche l’un de l’autre sur le divan, se chuchotant des mots doux à l’oreille et la jeune Lily qui avait aussi amener un copain.
Vraiment, Drago Malefoy se sentait stupide. En essayant de garder son calme, surtout lorsque Potter lui envoyait un regard amuser.
Croyant avoir à faire le père Noël seulement quatre fois, il désespéra lorsqu’il sur que toute la famille y passait. 30 personnes à faire passer sur ses genoux. 30 cadeaux à distribuer en son nom.
Scorpius regardait avec amusement son père jouer son rôle, se demandant quand il allait craquer. Mais il ne craqua pas. Alors lorsqu’il s’assit sur les cuisses de son père, lorsque ce dernier lui demanda pour noël, il ne pu s’empêcher de murmurer à son oreille : "Le rouge n'est vraiment pas ta couleur."
Fin…
Dernière édition par Sweet'N Sour le Lun 30 Nov - 11:16, édité 1 fois | |
| | | Sweet'N Sour
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| Sujet: Re: (Harry Potter) Petites histoires d'après guerre Lun 30 Nov - 10:49 | |
| Albus Severus Potter Ginny était en train de faire la vaisselle alors qu'Harry jouait avec le jeune James, 15 mois, dans le petit parc magique. Elle s'interrompit un instant pour lui dire qu'il était temps pour lui d'aller coucher James. Le survivant prit donc l'enfant dans ses bras et monta les escaliers pour se diriger vers les chambres. Ginny allait bientôt accouché et elle et Harry n'était toujours pas arrivé à trouver le nom pour leur second fils. Trouver celui de James avait été facile. Harry avait voulu le nommer en l'honneur de son père et de son parain. Ginny, désireuse de faire plaisir à son mari, avait accepter. De toute façon, ça lui plaisait bien. James Sirius Potter. C'était un nom parfait pour un gyffondor. Lorsque Harry redescendit, la rousse avait terminer avec la vaisselle et elle était maintenant assis sur le divan, face à une télé moldu éteinte. Le brun s'assit prêt d'elle et en plaçant un bras autour de ses épaules, la rapprochant de lui. Ginny se laissa aller à fermer les yeux contre son mari. "Il faudrat bien lui trouver un nom à ce garçon." murmura-t-elle, appréciant la chaleur que lui communiquait son amant. "Si seulement ça avait été une fille." lui répondit-il en chuchautant lui aussi "Ce aurait été plus simple. On aurait pu l'appeller Lily. " "Que penses-tu de Silvanus? C'est un jolie nom." «Tu plaisantes j'espère? C'est beaucoup trop..." «Beaucoup trop quoi?" «Beaucoup trop...» Il chercha ses mots «Beaucoup trop Malfoyen. Voilà. " "Je croyais que tu t'entendait mieux avec lui depuis qu'on vous avait mis partenaire au travail." s'étonna-t-elle, quittant l'épaule de son mari. «Je le supporte parce que je suis obligé. C'est vrai que ça va plutôt bien, mais je ne vais pas appeler mon fils Silvanus. Ça ressemble trop au nom de son fils. Tu te rend compte qu'il a appeler son fils Scorpius! Pauvre gamin." Et soudain, Ginny se fâcha. Les hormones jouaient avec elle et la tête de cochon de son mari commençait vraiment à l'énerver. De coup elle se leva et quitta la pièce en claquant la porte et en lui hurlant de se dépêcher de trouver un nom qu'il lui plairait parce que sinon, il l'appellerait Silvanus. Lorsqu'il alla se coucher, une heure plus tard, la porte était fermer et barrer. Il essaya de raisonner sa femme, en vain. Il prit donc une couverture dans l'armoir de son fils et alla se coucher sur le divan. Demain, Ginny serait calmée et tout serait comme avant. Mais pendant la nuit, Ginny descendit et alla réveiller son mari pour lui annoncer, entre deux contractions, qu'elle allait accouché maintenant. Ils se rendirent donc à Ste-Mangouste avec James. Molly et Arthur vinrent s'occuper de lui pendant qu'Harry assistait à l'accouchement. Au petit matin, le second fils Potter, toujours sans prénom, voyait le jour. Harry apporta le petit garçon, encore recouver d'un peu de sang à la mère. Étendu à ses côté, il sourit en regardant sa femme et son fils. «Mme et M. Potter.» interrompit l'infirmière, «Il va falloir le nom de l'enfant.» «Il s'appelle Albus. Albus Severus Potter." répondit Harry "Severus?" s'étonna Ginny "Pourquoi pas." fit le survivant «James porte le nom des deux personnes les plus importantes de ma famille. Il est tout à fait de circonstance que mon second fils porte le nom des deux sorciers les plus courageux à avoir aidé à combattre Voldemort." Malgré les années qui s'étaient écoulé, l'infirmière frissonna au nom du mage noir, mais Harry ne s'en rendit pas compte. Il était beaucoup trop captivé par Albus dans les bras de Ginny. Seuls les gazouilli de James, dans les bras de Molly qui venait d'entrer le sortit de sa contemplation. "Par Merlin!" s'exclama Arthur en le voyant. "Il est tellement calme celui-là." Le grand-père faisait ainsi référence a James, qui dès sa naissance n'avait pas arrêter de bouger dans tous les sens. "Faites attention." fit Molly à son gendre et sa fille. "Fred et George aussi étaient calme à leur naissance. Et voyez ce que ça l'a donné." La tristesse qui s'était emparer du groupe à la pensée de Fred disparu lorsque James, de nouveau avec la bougeotte, se mit à gigoter et à babiller pour descendre des bras de sa grand-mere. La bonne humeur revint et l'ambiance festive revint. Il y avait un nouveau Weasley dans la famille. Fin.. | |
| | | Sweet'N Sour
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| Sujet: Re: (Harry Potter) Petites histoires d'après guerre Lun 30 Nov - 10:57 | |
| Amitié particulière Prompts lancé par Heera : "- C'est ma couette. - je sais. -C'est ma couette. - je sais. Maintenant à toi de voir si tu en prends une autre ou si tu me rejoints. " - Spoiler:
Albus savait que sa destiné était d’être avec Scorpius. Il l’avait su dès leur première rencontre au chemin de traverse. Comme il l’avait fait avec Teddy et James avant lui, Harry Potter avait tenu à magasiner le matériel scolaire seul pour la première rentrer. Ginny s’occupait, avec Lily, d’acheter le nécessaire pour James. Le survivant en profita pour raconter à son fils cadet sa propre entrer à l’école de sorcellerie de Poudlard. Cette journée seul avec son fils lui permit aussi de lui remettre un cadeau très précieux.
« Un vieux parchemin vierge? » fit Albus, déçu en ouvrant la boite. « Qu’est-ce que tu veux que je fasse avec cela? »
« Ce vieux parchemin comme tu dis, m’as été très utile à Poudlard. Vois-tu Albus, il s’agit en fait d’une carte très détaillée de l’école, avec tous les passages secrets et leurs mots de passe, qui n’est accessible que si l’on connaît le code secret. » Et Harry ponta sa baguette magique sur le parchemin. « Je jure que mes intentions sont mauvaises. »
Et sous les yeux surpris du petit garçon, le schéma de Poudlard apparu devant lui. Il remarqua bien vite un petit point qui faisait les cents pas dans un bureau. Une petite étiquette indiquait : Caroline Cummings.
« Chaque personne présente dans l’école se trouve sur la carte. C’est très utile pour éviter les professeurs après un méfait. Mais ne dit pas à ta mère ce que je viens de te dire. Elle me tuerait de t’encourager à faire des bêtises. Méfait accompli. » fit-il afin de fermer la carte.
Avec prudence, le gamin prit la carte, la remis dans sa boite et la plaça en sécurité dans sa poche. D’une intelligence vive, le petit garçon savait que cette carte était très importante à son père et il se promis d’y faire très attention.
« Bon maintenant, allons t’acheter ta première baguette. »
Le père et le fils se rendirent donc chez Ollivander. Le vieil homme avait prit sa retraite bien des années auparavant et Harry n’était pas sur qu’il soit encore vivant, mais il avait été remplacé par son plus jeune frère.
« Alors je vois que c’est maintenant ton tour d’acheter ta première baguette. » dit l’homme en se mettant à la hauteur du gamin. Intimidé, ce dernier se contenta d’hocher la tête. « Alors voyons voir ce que j’ai pour toi. » Il fouilla dans ses boites. « Essayons celle-ci; 25 cm, bois de cèdre avec deux cheveux de vélane »
Cette première baguette brisa une vitre. La seconde faillit brûler les cheveux du pauvre homme. Mais lorsque le jeune Albus prit la troisième, une magnifique baguette en bois de rose, 23 cm contenant l’écaille d’une dragonne, quelque chose de magique se produisit. Des fils doré et argenté sortir de la baguette pour aller entourer un autre garçon de onze ans qui venait d’entrer, un petit blond au nez retrousser en une expression snob qui amusa Albus.
« Et bien je crois que la baguette à choisit son maître. » déclara le sorcier alors qu’Harry fixait le père du blond. On pouvait sentir la tension ainsi le marchant se dépêcha d’emballer la baguette et de la tendre au gamin. « Ce fera 10 gallions. »
La transaction terminer, les deux Potter quittèrent la pièce. Alors que le père ignora complètement les Malefoy, le jeune Albus ne pouvais détaché ses yeux de la silhouette de Scorpius.
« Voyons voir quel genre de baguette ira au petit Malefoy que voici. »
Incertain, le jeune garçon prit la baguette qui lui était tendu. Immédiatement, il sentit des étincelles lui parcourir le bras et bientôt, le même phénomène qu’avec Albus se produisit. Les fils se perdirent dans l’espace.
Drago paya les dix gallions et partit. Rester seul dans le magasins, le sorcier parlant dans le vide : « Surprenant, vraiment surprenant. » Pour la première fois depuis qu’il travaillait au chemin de traverse, il venait de vendre une baguette jumelle. À moins de 10 minutes d’intervalle. La seule différence entre les deux baguettes était la provenance de l’écaixlle. Si l’une venait d’une dragonne, celle de Malefoy venait du dragon compagnon de la dragonne. Comme tout marchand de baguette, il connaissait la légende qui disait que lorsque les âmes sœurs du monde se partageait souvent une baguette comme celle-là. Ce rendant compte de la stupidité de la situation, Alfred secoua la tête. Ce n’est qu’une légende après tout. Un Malefoy et un Potter ensemble, deux garçons de sursoit. C’est ridicule. Tu deviens vieux mon Alfred.
Dans la librairie, alors qu’ils étaient à la recherche de ses livres, Albus n’arrêtait pas de penser au jeune Malefoy. Le petit garçon connaissant très bien la haine des Potter envers les Malefoy et inversement, mais malgré cela, il avait très envi de devenir ami avec ce petit aristocrate qu’il avait rencontrer.
« Papa? » demanda Albus en prenant son courage à deux mains « Est-ce que je suis obligé de détester Malefoy? »
Harry regarda son fils, surprit par la demande. C’était une question délicate, ainsi il prit son temps avant de répondre. « Tu n’es pas obligé de détester qui que ce soit. Tu pourras te faire toi même une idée rendu à Poudlard. » En disant cela, sans qu’il ne s’en rendre compte, Harry avait fait bien plus que de rassurer son fils. Il lui avait donné l’autorisation d’apprécier, d’aimer l’autre garçon. Et lorsque Scorpius entra à son tour dans la boutique, Albus eut la sensation que c’était d’amour qu’il s’agissait.
_*_
Les deux garçons avaient maintenant 13 ans. Pour la première fois, Scorpius passait une semaine au manoir Potter. Ses parents avaient un voyage pour leurs 15 ans de mariage et bien qu’il fut invité, le jeune garçon préférait de loin passer une partie des vacances avec son meilleur ami. Pour l’occasion, Harry avait fait apparaître un deuxième lit qu’il avait placé près du lit de son fils. Ainsi, les deux amis pourraient tranquillement parler le soir avant de se coucher.
« C'est ma couette. » fit Scorpius. «Je sais » «C'est ma couette.» «Je sais. Maintenant à toi de voir si tu en prends une autre ou si tu me rejoints. »
Scorpius n’hésita pas longtemps et alla rejoindre son ami sous la couette. Chuchotant jusqu’aux petites heures, ils finirent par s’endormir, coller l’un à l’autre.
Le lendemain lorsque Ginny vint réveiller les deux garçons, elle resta un instant à regarder le portrait qu’ils formaient.
Lors qu’ils eurent 14 ans, ce fut deux semaines que Scorpius passa chez les Potter. Le premier soir, le même schéma se produit. Albus lui vola sa couverture et Scorpius se retrouva à dormir dans les bras d’Albus.
À 15 ans, ce fut au tour d’Albus de venir passer les vacances au manoirs Malefoy. Le premier soir, lorsque Albus refit le même manège, Scorpius alla plutôt se chercher une autre couverture, arguant qu’ils étaient trop vieux pour dormir ensemble comme cela. Mais malgré cela, Scorpius se retrouva tout de même dans le lit d’Albus. Cette année là, Scorpius sentit quelque chose de dure et chaux contre sa cuisse lorsqu’il se réveilla. Il n’osa pas bouger, non pas pour éviter le réveille, mais surtout pour qu’Albus ne puisse pas sentir l’état dans lequel lui-même se trouvait.
À 16 ans, les choses changèrent encore et Scorpius retourna chez Albus. Cette fois-ci, il refusa d’aller dormir dans son lit, mais contrairement à l’été précédent, il se força à rester dans son lit. La situation blessa fortement Albus, mais Scorpius ne s’en rendit pas compte, trop occuper qu’il était à essayer de se convaincre que c’était mal. La deuxième nuit, Scorpius poussa l’audace jusqu’à demander à dormir dans une autre chambre. Cette fois-ci, il vit bien qu’il blessait son ami, mais il préférait cela à ce que ce dernier l’entende gémir son prénom pendant son sommeil. À la fin de la semaine, Albus était tellement triste qu’il dit à peine au revoir à son ami avant d’aller s’enfermer dans sa chambre.
Ce soir-là, Harry se décida à avoir une discussion avec son plus jeune fils. Jamais encore il n’avait entendu parler d’une dispute entre eux depuis la première année. Et voilà qu’en une semaine, ils n’avaient fait que cela. Lorsqu’il entra dans la chambre de son Serpentard préféré, il le trouva couché sur le ventre, le visage enfouis dans son oreiller.
« Albus? » demanda-t-il doucement. Aucune réponse. Il se rapprocha un peu et mis un main sur l’épaule de son fils alors qu’il s’assoyait sur le lit. « Albus? Ça va? » Soudainement, il se retrouva avec son fils en pleurs dans ses bras. Serrant le corps tremblant de son fils contre le sien, lui caressant les cheveux en lui murmurant des ‘chut’ réconfortant. C’était tout ce qu’il pouvait dire pour l’instant. Il n’avait jamais vu son fils dans cet état, il n’avait jamais vu quelqu’un dans cet état là. À part peut-être Lily au début de l’été lorsque son sont premier petit copain l’avait laisser et c’était Ginny qui s’en était occupé. Penser à Lily fut comme une révélation et il comprit que la tristesse de son fils était du à une peine d’amour. C’était la seule explication possible. Et peux importe comment il tournait la situation dans sa tête, il n’en venait qu’à une seule conclusion. Son fils était amoureux du jeune Malefoy. Et comme Lily et Dustin, ils avaient rompu.
Avec deux doigts, Harry força son fils à le regarder dans les yeux. « Qu’est-ce qui c’est passé? Vous avez rompu? »
Albus regarda son père avec des yeux interrogateurs, surprit que ce dernier est comprit qu’il avait le cœur brisé à cause de Scorpius, et soudainement, il se remis à pleurer. Pendant un instant, il ne fut capable que de faire non de la tête. Lorsqu’il fut enfin un peu calmé, il réussit à dire : «Il me déteste. »
Cela sonnait comme une affirmation, mais Harry préféra s’en assurer. « C’est lui qui t’as dit ça? »
« Non »
« Alors comment le sais-tu? »
« Je le sais, c’est tout, pourquoi crois-tu qu’il a demander à changer de chambre? Il s’est rendu compte que je fantasmais sur lui et maintenant il me déteste. »
« Ne dit pas de connerie, Al. Si ça se trouve, il ne sait même pas rendu compte qu’il te blessait. » Harry réfléchis un instant. « Demain, nous irons chez les Malefoy et tu lui demandera toi-même. »
« Et s’il me déteste vraiment? »
« Et bien je me vengerais sur son père. »
La phrase, lancé avec sérieux, décrocha un sourire à Albus. « Je crois que je vais me coucher. Peux-tu dire à maman que je ne souperais pas ce soir. Je n’ai pas très faim. »
« D’accord. » Harry embrassa son fils sur le front en lui caressant une nouvelle fois les cheveux. « Je t’aime. »
Et Albus s’endormi, un faible sourit aux lèvres. Au moins son père ne le détestait pas.
Scorpius lui ne s’endormis pas aussi facilement ce soir là. Il se tourna dans son lit pendant des heures, réfléchissant à la situation. Il était amoureux d’Albus et pour la première fois de sa vie, l’aristocrate confiant fit place à un gamin apeurer par des sentiments trop grands pour lui. En fermant les yeux, il pouvait sentir les mains d’Albus sur lui, son corps contre le siens lorsqu’ils dormaient, son regard sur lui. Les yeux fermés, chacun des petits gestes innocents du quotidien devenaient sexuels. Le blond décida de se lever pour aller prendre un verre d’eau dans la cuisine. Il y rencontra sa mère en chemise de nuit. La femme avait eut la même idée que son fils. Voyant les yeux rougis et fatigué de son fils, elle le força à s’assoire à table.
« Qu’est-ce qui ce passe chéri? »
« Rien maman. Je n’arrive tout simplement pas à dormir. »
« Scorpius. » dit-elle d’autorité, sachant très bien que son fils ne lui disait pas toute la vérité.
Il allait lui servir la même explication, mais au dernier moment, il avisa qu’une partie de la vérité aurait plus d’effet.
« Je crois que je suis amoureux. »
« oh… Premiers amours. »
« Première peine d’amour surtout. »
« Ce n’est pas réciproque c’est ça? » lui demanda-t-elle, compréhensive. « Tu lui a demander au moins? »
« je.. »
« Scorpius chéri, tu dois au moins lui demander. »
« Mais maman, je sais qu’i.. qu’elle ne m’aime pas. »
« On est jamais sur de quoique ce soit dans la vie. Demain, demande lui. Tu en aurais le cœur net. »
Scorpius sourit à sa mère, fort de sa nouvelle décision d’en parler à Albus le lendemain. Astoria regarda son fils retourner dans sa chambre plus serein et sourit. Drago ne sera pas content d’apprendre qu’il aurait un Potter comme gendre. Depuis qu’Astoria lui avait parler de ses doutes concernant l’orientation sexuelle de leurs fils, ce dernier l’avait prit avec un calme surprenant.
« Tant qu’il ne finit pas avec se satané Potter, il peut bien sortir avec qui il veut. » avait-il alors dit.
La suite allait s’avérer intéressante.
Fin
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